KC : Comment vous sentez vous à l'approche de la sortie du 5eme album ?
Billy : C'est étonnant. De nos jours, la longévité d'un groupe semble être la chose la plus dure à maintenir. Je pense vraiment que nous le devons à nos fans. Ils continuent à nous supporter.
KC : Le processus d'enregistrement était il différents des précédents ?
Billy : Un peu. Quand vous êtes cinq personnes, chacun a des idées différentes, il faut faire un tri pour l'enregistrement final. Le désir de se sentir bien et qu'un album vous ressemble est vital, nous avons discuté longuement pour trouver un terrain d'entente. Nous sommes plus vieux maintenant, c'est le cinquième album et nous avons prit notre temps, et l'avons fait plusieurs fois. Nous sommes arrivés sans ego, sans espérance et nous nous sommes laissé porté par l'album, nous savions comment faire et ce que nous espérions de lui.
KC : Combien de chansons avez-vous initialement enregistré pour Cardiology avant de le recommencer ?
Billy : Howard Benson a choisi quelques démo et nous a dit que nous avions besoin de bosser dessus. Nous avions fini toute la batterie, toute la basse. Nous étions arrivés au milieu de la guitare et nous avions commencés à faire des chants sur certaines chansons et nous nous sommes rendus compte que ça n'allait pas. Il manquait du coeur et d'âme.Nous avons tout jeté et recommencé avec Don Gilmore (Good Charlotte; Good Morning Revival). Nous voulions quelque chose de nouveau sur cet album. A la fin nous n'avons gardé seulement 6 ou 7 chansons.
KC : J'ai remarqué que certaines chansons sur cet album évoquent votre premier album. Pensez-vous que c'est parce que vous avez travaillé avec le même producteur ou c'est quelque chose qui est arrivé naturellement dans le processus d'enregistrement ?
Billy : Je ne suis pas sûr, notre premier album avait des mélodies vraiment simples. Le deuxième album, nous avons commencé avec plus de textures et de sons. Le troisième album nous avons eu un peu expérimenté avec des cordes et des claviers et de vraiment essayer des nouvelles choses. Le quatrième disque, nous sommes allés beaucoup plus loin avec les claviers ça a apporté une atmosphère dance. Pour cet album nous nous sommes dit "pourquoi ne pas prendre le meilleur de tous ? Restons simple comme dans le 1er, avec des textures et un son accrocheur, sans laisser les claviers parce que nous aimons la musique électronique".
KC : Sur les albums précédents, vous avez co-écrit certaines chansons, je me demandais si vous aviez des co-écrit sur cet album ?
Billy : Non. Ma femme et moi avons eu un fils il y a un an et demi. J'ai passé beaucoup de temps en famille au plaisir d'être père. Une partie de moi se sent un peu coupable mais j'ai fais ce qu'il fallait. Il faut passer beaucoup de temps avec eux et ne pas être toujours sur les routes. Je n'ai peut être pas co-écrit mais je sais comment équilibrer mon travail avec ma vie de famille. Je suis impatient d'être de nouveau auteur/compositeur. Joel a deux enfants, Paul en a eu un il a une semaine et Deano a aussi un fils. Benji est le seul a ne pas avoir de famille, donc c'est facile pour lui d'être à 100% dans le groupe. Sur 100 démo il a du en écrire 80, nous sommes chanceux de l'avoir, la majeure partie de l'enregistrement a été écrite par Benji et une bonne poignet par Joel.
KC : Comment est venu le titre de l'album, Cardiology ?
Billy ; Il es venu tout seul avant même de commencer l'enregistrement parce que toutes les chansons parlent du coeur que ce soit l'amour, la haine, les relations, être père, tout va vers le cœur quand il s'agit de ce genre de musique.
KC : Pourquoi avoir choisi Like It's Her Birthday en 1er single ?
Billy : C'était dur, chaque chanson aurait pu être le single. Mais ça nous semblait être la bonne. Nous avons commencé à enregistrer sous Sony BMG et avons basculés sous Capital/EMI. Je voulais savoir si je pouvais avoir confiance en ce label, si ils pouvaient avoir le pouvoir entre leurs mains et tout le monde semblait avoir choisi cette chanson.
KC : Sur les 100 démos, il y en avait qui était sur de figurer sur l'album ?
Billy : Oui il y en avait quelques unes, la 1ere "Let The Music Play" qui est une chanson spéciale, elle signifie que la musique est importante pour beaucoup de gens, pour nous, pour nos fans. Combien de gens comptent sur la musique dans leur vie pour faire passer certaines choses. "Right Where I Belong" et "Harlow's Song (Can't Dream Without You)" et "1979" est apparut en cours d'enregistrement.
KC : Dans le passé vous avez conçu des clips pour le groupe, allez vous le refaire ?
Billy : Je ne dis pas non. J'aime dessiner et j'ai conçu la pochette de The Chronicles et un clip, c'était sympa et ça m'a ouvert beaucoup de portes. Les fans savent que c'est une partie de moi. J'ai un side project avec un ami, une BD qui sortira dans le courant de l'année prochaine. Si l'occasion se présente de faire plus de choses pour le groupe, je le ferai certainement. Je fais parfois le design pour les t shirt du groupe.
KC : Vous êtes dévouez envers vos fans et gardez contact via Twitter et vos sites, est -il important de garder ce lien pour le nouvel album ?
Billy : Je pense que c'est une chose importante pour les fans que de voir ce qui se passe dans les coulisses, de connaître les détails de ce que faisons. Nous aurions aimé savoir tout ça quand nous étions ados envers les groupes que nous aimions. Les groupes de maintenant se servent d'internet et nous avons du nous mettre à la page, pour nous ils suffisaient d'aller à des concerts et de sortir rencontrer nos fans. Nous avons construit notre groupe en 2000, et nous travaillons cette relation avec les fans. Maintenant je peux parler via mon ordinateur, on me lit et me répond en retour, c'est génial, nous nous sommes bien adapté.
KC : Une tournée pour Cardiology ?
Billy : Nous avons conquit de nouveaux pays avec nos chansons, cette année nous sommes allés pour la première fois en Russie. L'album sort en novembre donc il y a la promotion partout en Amérique, un show en Asutralie. En janvier/février nous allons en Europe. Nous pensons faire des émissions radios pour noël.
Billy : C'est étonnant. De nos jours, la longévité d'un groupe semble être la chose la plus dure à maintenir. Je pense vraiment que nous le devons à nos fans. Ils continuent à nous supporter.
KC : Le processus d'enregistrement était il différents des précédents ?
Billy : Un peu. Quand vous êtes cinq personnes, chacun a des idées différentes, il faut faire un tri pour l'enregistrement final. Le désir de se sentir bien et qu'un album vous ressemble est vital, nous avons discuté longuement pour trouver un terrain d'entente. Nous sommes plus vieux maintenant, c'est le cinquième album et nous avons prit notre temps, et l'avons fait plusieurs fois. Nous sommes arrivés sans ego, sans espérance et nous nous sommes laissé porté par l'album, nous savions comment faire et ce que nous espérions de lui.
KC : Combien de chansons avez-vous initialement enregistré pour Cardiology avant de le recommencer ?
Billy : Howard Benson a choisi quelques démo et nous a dit que nous avions besoin de bosser dessus. Nous avions fini toute la batterie, toute la basse. Nous étions arrivés au milieu de la guitare et nous avions commencés à faire des chants sur certaines chansons et nous nous sommes rendus compte que ça n'allait pas. Il manquait du coeur et d'âme.Nous avons tout jeté et recommencé avec Don Gilmore (Good Charlotte; Good Morning Revival). Nous voulions quelque chose de nouveau sur cet album. A la fin nous n'avons gardé seulement 6 ou 7 chansons.
KC : J'ai remarqué que certaines chansons sur cet album évoquent votre premier album. Pensez-vous que c'est parce que vous avez travaillé avec le même producteur ou c'est quelque chose qui est arrivé naturellement dans le processus d'enregistrement ?
Billy : Je ne suis pas sûr, notre premier album avait des mélodies vraiment simples. Le deuxième album, nous avons commencé avec plus de textures et de sons. Le troisième album nous avons eu un peu expérimenté avec des cordes et des claviers et de vraiment essayer des nouvelles choses. Le quatrième disque, nous sommes allés beaucoup plus loin avec les claviers ça a apporté une atmosphère dance. Pour cet album nous nous sommes dit "pourquoi ne pas prendre le meilleur de tous ? Restons simple comme dans le 1er, avec des textures et un son accrocheur, sans laisser les claviers parce que nous aimons la musique électronique".
KC : Sur les albums précédents, vous avez co-écrit certaines chansons, je me demandais si vous aviez des co-écrit sur cet album ?
Billy : Non. Ma femme et moi avons eu un fils il y a un an et demi. J'ai passé beaucoup de temps en famille au plaisir d'être père. Une partie de moi se sent un peu coupable mais j'ai fais ce qu'il fallait. Il faut passer beaucoup de temps avec eux et ne pas être toujours sur les routes. Je n'ai peut être pas co-écrit mais je sais comment équilibrer mon travail avec ma vie de famille. Je suis impatient d'être de nouveau auteur/compositeur. Joel a deux enfants, Paul en a eu un il a une semaine et Deano a aussi un fils. Benji est le seul a ne pas avoir de famille, donc c'est facile pour lui d'être à 100% dans le groupe. Sur 100 démo il a du en écrire 80, nous sommes chanceux de l'avoir, la majeure partie de l'enregistrement a été écrite par Benji et une bonne poignet par Joel.
KC : Comment est venu le titre de l'album, Cardiology ?
Billy ; Il es venu tout seul avant même de commencer l'enregistrement parce que toutes les chansons parlent du coeur que ce soit l'amour, la haine, les relations, être père, tout va vers le cœur quand il s'agit de ce genre de musique.
KC : Pourquoi avoir choisi Like It's Her Birthday en 1er single ?
Billy : C'était dur, chaque chanson aurait pu être le single. Mais ça nous semblait être la bonne. Nous avons commencé à enregistrer sous Sony BMG et avons basculés sous Capital/EMI. Je voulais savoir si je pouvais avoir confiance en ce label, si ils pouvaient avoir le pouvoir entre leurs mains et tout le monde semblait avoir choisi cette chanson.
KC : Sur les 100 démos, il y en avait qui était sur de figurer sur l'album ?
Billy : Oui il y en avait quelques unes, la 1ere "Let The Music Play" qui est une chanson spéciale, elle signifie que la musique est importante pour beaucoup de gens, pour nous, pour nos fans. Combien de gens comptent sur la musique dans leur vie pour faire passer certaines choses. "Right Where I Belong" et "Harlow's Song (Can't Dream Without You)" et "1979" est apparut en cours d'enregistrement.
KC : Dans le passé vous avez conçu des clips pour le groupe, allez vous le refaire ?
Billy : Je ne dis pas non. J'aime dessiner et j'ai conçu la pochette de The Chronicles et un clip, c'était sympa et ça m'a ouvert beaucoup de portes. Les fans savent que c'est une partie de moi. J'ai un side project avec un ami, une BD qui sortira dans le courant de l'année prochaine. Si l'occasion se présente de faire plus de choses pour le groupe, je le ferai certainement. Je fais parfois le design pour les t shirt du groupe.
KC : Vous êtes dévouez envers vos fans et gardez contact via Twitter et vos sites, est -il important de garder ce lien pour le nouvel album ?
Billy : Je pense que c'est une chose importante pour les fans que de voir ce qui se passe dans les coulisses, de connaître les détails de ce que faisons. Nous aurions aimé savoir tout ça quand nous étions ados envers les groupes que nous aimions. Les groupes de maintenant se servent d'internet et nous avons du nous mettre à la page, pour nous ils suffisaient d'aller à des concerts et de sortir rencontrer nos fans. Nous avons construit notre groupe en 2000, et nous travaillons cette relation avec les fans. Maintenant je peux parler via mon ordinateur, on me lit et me répond en retour, c'est génial, nous nous sommes bien adapté.
KC : Une tournée pour Cardiology ?
Billy : Nous avons conquit de nouveaux pays avec nos chansons, cette année nous sommes allés pour la première fois en Russie. L'album sort en novembre donc il y a la promotion partout en Amérique, un show en Asutralie. En janvier/février nous allons en Europe. Nous pensons faire des émissions radios pour noël.
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