SG : Que vouliez vous faire avec cet album ?
BM : Je ne sais pas, nous voulions simplement réécrire des chansons, et mettre des choses positives dans cet album. Après nous voulions faire ce que nous faisions de mieux, sans être inquiet de savoir si cela allait plaire ou non. En faite Cardiology est une sorte de Best-Of de nos 5 derniers albums.
SG : Vous écrivez vos chansons à deux, Joel et toi, comment ça marche ?
BM : Habituellement nous les écrivons à deux sur une guitare acoustique. Je vais jouer un accord que j'aime et peut être même une mélodie. Ou alors j'ai une idée de paroles et Joel de mélodie, ça commence comme ça. Joel adore quand tout va très vite donc je dois faire de mon mieux. Quand c'est à peu près fini, je vais retravailler la mélodie pour que se soit plus musicale, la rendre plus intéressante que de 3 simples accords, quand vous décortiquez une chanson connue elle a souvent juste 3 accords.
SG : J'ai adoré "Harlow's Song", c'est bien sur pour Harlow, la fille de Joel qui est près de son coeur. Y a t'il une chanson dont vous êtes proche dans cet album ?
BM : Je l'aime aussi beaucoup, je suis très proche de ses enfants ainsi que de la fille de ma soeur. Billy a aussi un fils, Paul une fille et Deano a aussi un fils. Nous sommes entourés par beaucoup d'enfants maintenant et je suis proche d'eux. Quand je l'ai entendu la 1ere fois j'en ai des frissons. Je pense que quiconque à des enfants comprendront où même quelqu'un de très proche.
Mais pour ma part c'est 1979 qui est proche de moi. C'est une mélodie très simple, et tout nos fans qui nous connaissent, connaissent notre histoire et nos moments difficiles et je voulais aussi leur montrer nos bons moments. Quand nous étions gamins et que nos parents s'aimaient toujours. C'est une sorte de poésie, dans le 1er couplet je parle de mon père et dans le second de ma mère.
SG : Je sais que plus jeune, vous êtes passés par des expériences difficiles. Cela reflète un peu "Lifestyles Of The Rich And The Famous" on se demandait pourquoi les célébrités se plaignaient.
BM : Oui c'est marrant, au fils des ans cette chanson a été mal interprétée. Maintenant on nous dit "Vous l'avez écrit mais vous le vivez aussi". C'est après que je sais que les gens n'ont pas écouter les paroles parce que ce que nous disons c'est "Si vous ne le voulez pas nous le prendrons à votre place".
SG : Votre groupe a connu quand même les inconvénients de la célébrité, on a pu voir sur Twitter que vous parliez de quelque chose sur la lettre qu'a écrit Nicole Richie à X17.
BM : Oui, je suis d'accord avec elle à 100%. Je pense qu'elle ne se plaint pas à tous, juste à ceux qui ont un casier judiciaire. Vous savez ces types reste à proximité d'une école maternelle. Tout les parents sont concernés de savoir qu'il y a ce genre d'individus. Si Nicole ferai sa diva je le lui dirai de suite mais là elle a vraiment raison.
SG : Je suppose que la gloire a entraîné des choses positives ?
BM : Oui, nous avons eu la chance de travailler avec l'UNICEF, c'était très difficile mais ça a été une expérience personnelle enrichissante.
Avoir la chance d'aller en voyage avec l'UNICEF et rencontrer les ONG et autres personnes qui consacrent leurs vies pour cette cause... Ils vivent dans des conditions épouvantables juste pour aider les autres. Je veux dire j'ai rencontré des médecins qui sont en Afrique alors qu'ils auraient très bien pu exercer tranquillement à NYC ou L.A et se faire beaucoup d'argent ... En voyant ça j'ai voulu en faire plus et je sentais que je pouvais le faire.
SG : A quel titre avait vous travaillé pour eux ?
BM : A la survie de l'enfant. Quand les autres ont commencé à avoir des bébés, ça m'a ouvert les yeux, et ma famille et moi voulions leur offrir une vie meilleure. Nous avons commencé avec le programme "Believe In Zero". Quand nous avions commencé le nombre d'enfants qui mourraient chaque année était de 26 000, et au cours des 2 dernières années ce nombre a diminué de quelques milliers. Nous avons essayé de sensibiliser le public et nous voudrions continuer, j'ai d'ailleurs reçu un mail pour une prochaine réunion. Je suis tellement enthousiasme de faire un autre voyage, d'aider, c'est vraiment gratifiant.
SG : Quel endroit vous a le plus touché ?
BM : C'était à Sam Ouandja dans la République Centrafricaine. C'est proche du Soudan et du Congo, et ce pays est déchiré par la guerre. Nous sommes allés là bas pour construire un puits, pour qu'ils aient de l'eau potable. Nous avons aussi fait pas mal de chose à Los Angeles.
SG : Il y a tant de pauvreté dans notre pays.
BM : Tout à fait. Il y a des partie de notre pays qui sont tellement pauvre qu'ils devraient être dans le Tiers Monde. J'espère pouvoir les aider au fils des années.
SG : Avec le groupe, vous avez encore des objectifs a atteindre ?
BM : Bien sur, nous avons accompli beaucoup de choses. Notre 1er album à 10 ans. Je pense que notre objectif est de ne pas être catalogué et de toujours faire ce qu'on aime, pour le meilleur ou pour le pire.
Il y a toujours ce débat pour savoir si nous somme pop, punk, pop-punk, nous n'y avons jamais répondu parce que nous nous ne sommes rien.
Je pense que nous sommes aussi l'un des seuls groupes qui peut dire que nous avons joué avec Metallica, avec Slipknot, avec System of a Down, avec Bad Religion, avec NOFX, avec Rancid, avec AFI, avec Justin Timberlake, avec Pink. Un bon exemple, c'est notre tournée Européenne avec Pink, nous étions sa première partie dans des stades immenses. Puis nous avons joué un concert avec Rammstein, Mötley Crüe et Iron Maiden et nous avons été parfaitement reçu. J'aimerai aussi vous dire que nous serions là dans 5 ans.
SG : La famille passera quand même en 1er non ?
BM : Oui, quand je vois comment sont les gars avec leurs enfants et leur copines... C'est la famille qui passe en 1er.
SG : Quand voudriez vous devenir père ?
BM : Je ne sais pas mais c'est quelque chose dont j'ai envie. C'est dans mon avenir mais je ne sais pas quand, seul l'avenir le dira.
SG : Quelle est la vision ? Une maison, clôture blanche et 2 enfants et 2 chiens?
BM : Je ne serais pas contre. En même temps est-ce que je suis vraiment traditionnel ? Chacun dans le groupe à son propre style de vie.
SG : Ça doit être quelque chose d'important pour vous vu votre enfance.
BM : Oui, et je tiens absolument à être un formidable père. Quand je vois mon frère, je suis fier de lui et je me dis que j'aurai du succès dans cette vie là. C'est la meilleure chose qui lui ai arrivé et c'est la chose qui fait le mieux, être un bon père de famille.
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+ Good Charlotte chez Lopez Tonight (LIHB)
BM : Je ne sais pas, nous voulions simplement réécrire des chansons, et mettre des choses positives dans cet album. Après nous voulions faire ce que nous faisions de mieux, sans être inquiet de savoir si cela allait plaire ou non. En faite Cardiology est une sorte de Best-Of de nos 5 derniers albums.
SG : Vous écrivez vos chansons à deux, Joel et toi, comment ça marche ?
BM : Habituellement nous les écrivons à deux sur une guitare acoustique. Je vais jouer un accord que j'aime et peut être même une mélodie. Ou alors j'ai une idée de paroles et Joel de mélodie, ça commence comme ça. Joel adore quand tout va très vite donc je dois faire de mon mieux. Quand c'est à peu près fini, je vais retravailler la mélodie pour que se soit plus musicale, la rendre plus intéressante que de 3 simples accords, quand vous décortiquez une chanson connue elle a souvent juste 3 accords.
SG : J'ai adoré "Harlow's Song", c'est bien sur pour Harlow, la fille de Joel qui est près de son coeur. Y a t'il une chanson dont vous êtes proche dans cet album ?
BM : Je l'aime aussi beaucoup, je suis très proche de ses enfants ainsi que de la fille de ma soeur. Billy a aussi un fils, Paul une fille et Deano a aussi un fils. Nous sommes entourés par beaucoup d'enfants maintenant et je suis proche d'eux. Quand je l'ai entendu la 1ere fois j'en ai des frissons. Je pense que quiconque à des enfants comprendront où même quelqu'un de très proche.
Mais pour ma part c'est 1979 qui est proche de moi. C'est une mélodie très simple, et tout nos fans qui nous connaissent, connaissent notre histoire et nos moments difficiles et je voulais aussi leur montrer nos bons moments. Quand nous étions gamins et que nos parents s'aimaient toujours. C'est une sorte de poésie, dans le 1er couplet je parle de mon père et dans le second de ma mère.
SG : Je sais que plus jeune, vous êtes passés par des expériences difficiles. Cela reflète un peu "Lifestyles Of The Rich And The Famous" on se demandait pourquoi les célébrités se plaignaient.
BM : Oui c'est marrant, au fils des ans cette chanson a été mal interprétée. Maintenant on nous dit "Vous l'avez écrit mais vous le vivez aussi". C'est après que je sais que les gens n'ont pas écouter les paroles parce que ce que nous disons c'est "Si vous ne le voulez pas nous le prendrons à votre place".
SG : Votre groupe a connu quand même les inconvénients de la célébrité, on a pu voir sur Twitter que vous parliez de quelque chose sur la lettre qu'a écrit Nicole Richie à X17.
BM : Oui, je suis d'accord avec elle à 100%. Je pense qu'elle ne se plaint pas à tous, juste à ceux qui ont un casier judiciaire. Vous savez ces types reste à proximité d'une école maternelle. Tout les parents sont concernés de savoir qu'il y a ce genre d'individus. Si Nicole ferai sa diva je le lui dirai de suite mais là elle a vraiment raison.
SG : Je suppose que la gloire a entraîné des choses positives ?
BM : Oui, nous avons eu la chance de travailler avec l'UNICEF, c'était très difficile mais ça a été une expérience personnelle enrichissante.
Avoir la chance d'aller en voyage avec l'UNICEF et rencontrer les ONG et autres personnes qui consacrent leurs vies pour cette cause... Ils vivent dans des conditions épouvantables juste pour aider les autres. Je veux dire j'ai rencontré des médecins qui sont en Afrique alors qu'ils auraient très bien pu exercer tranquillement à NYC ou L.A et se faire beaucoup d'argent ... En voyant ça j'ai voulu en faire plus et je sentais que je pouvais le faire.
SG : A quel titre avait vous travaillé pour eux ?
BM : A la survie de l'enfant. Quand les autres ont commencé à avoir des bébés, ça m'a ouvert les yeux, et ma famille et moi voulions leur offrir une vie meilleure. Nous avons commencé avec le programme "Believe In Zero". Quand nous avions commencé le nombre d'enfants qui mourraient chaque année était de 26 000, et au cours des 2 dernières années ce nombre a diminué de quelques milliers. Nous avons essayé de sensibiliser le public et nous voudrions continuer, j'ai d'ailleurs reçu un mail pour une prochaine réunion. Je suis tellement enthousiasme de faire un autre voyage, d'aider, c'est vraiment gratifiant.
SG : Quel endroit vous a le plus touché ?
BM : C'était à Sam Ouandja dans la République Centrafricaine. C'est proche du Soudan et du Congo, et ce pays est déchiré par la guerre. Nous sommes allés là bas pour construire un puits, pour qu'ils aient de l'eau potable. Nous avons aussi fait pas mal de chose à Los Angeles.
SG : Il y a tant de pauvreté dans notre pays.
BM : Tout à fait. Il y a des partie de notre pays qui sont tellement pauvre qu'ils devraient être dans le Tiers Monde. J'espère pouvoir les aider au fils des années.
SG : Avec le groupe, vous avez encore des objectifs a atteindre ?
BM : Bien sur, nous avons accompli beaucoup de choses. Notre 1er album à 10 ans. Je pense que notre objectif est de ne pas être catalogué et de toujours faire ce qu'on aime, pour le meilleur ou pour le pire.
Il y a toujours ce débat pour savoir si nous somme pop, punk, pop-punk, nous n'y avons jamais répondu parce que nous nous ne sommes rien.
Je pense que nous sommes aussi l'un des seuls groupes qui peut dire que nous avons joué avec Metallica, avec Slipknot, avec System of a Down, avec Bad Religion, avec NOFX, avec Rancid, avec AFI, avec Justin Timberlake, avec Pink. Un bon exemple, c'est notre tournée Européenne avec Pink, nous étions sa première partie dans des stades immenses. Puis nous avons joué un concert avec Rammstein, Mötley Crüe et Iron Maiden et nous avons été parfaitement reçu. J'aimerai aussi vous dire que nous serions là dans 5 ans.
SG : La famille passera quand même en 1er non ?
BM : Oui, quand je vois comment sont les gars avec leurs enfants et leur copines... C'est la famille qui passe en 1er.
SG : Quand voudriez vous devenir père ?
BM : Je ne sais pas mais c'est quelque chose dont j'ai envie. C'est dans mon avenir mais je ne sais pas quand, seul l'avenir le dira.
SG : Quelle est la vision ? Une maison, clôture blanche et 2 enfants et 2 chiens?
BM : Je ne serais pas contre. En même temps est-ce que je suis vraiment traditionnel ? Chacun dans le groupe à son propre style de vie.
SG : Ça doit être quelque chose d'important pour vous vu votre enfance.
BM : Oui, et je tiens absolument à être un formidable père. Quand je vois mon frère, je suis fier de lui et je me dis que j'aurai du succès dans cette vie là. C'est la meilleure chose qui lui ai arrivé et c'est la chose qui fait le mieux, être un bon père de famille.
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